Longtemps considérée comme une course relativement sérieuse, la face Est et Sud du Grand capucin pourrait presque être comparée, de nos jours, a une grande falaise; a condition, tout de même, de bien connaitre le « coin »;
approche glaciaire, rimaye, couloir parfois pourri, altitude…
Partant tôt de Cham, en passant par la remontée Italienne, on est facilement rentré pour la fin d’après midi. En gros une heure d’approche, 9 longueurs, quelques rappels plus ceux du couloirs, une heure pour le retour à Helbronner.
Trop de monde dans les Suisses, on s’est alors dirigé dans Sole mio que je n’avais pas grimpée depuis 2002; c’est vraiment classe et tout de même un cran au dessus des Suisses.
Merci, Sylvain.